Faible niveau de connaissances

25 mai 2017

Comment qualifier le niveau général de connaissances du marché en matière de direct mail ? Assez faible, à entendre nos interlocuteurs. « Aucune haute école ou université n’enseigne quoi que ce soit aux étudiants concernant notre métier. Notre niche de marché est tellement spécifique… », dit Ludo Longin, de DSC. Le niveau de maîtrise de la technique, pour les formats d’enveloppes par exemple, est désespérément bas. Voilà pourquoi nous assurons des formations en interne. Les gens qui viennent chez nous s’astreignent à un parcours de 6 mois pour acquérir le savoir de base. Chaque organisation a désormais son équipe. Le savoir-faire est réparti sur plusieurs personnes. Tout cela contribue à faire une bonne campagne. »

Chez Delhaize, Gina Verhasselt dit être à la recherche d’un spécialiste du DM depuis tout un temps. « Les bons profils ne sont pas faciles à trouver. La personne doit tout de même pouvoir justifier d’une certaine expérience. Heureusement, nous disposons d’une cellule ‘media’ (qui veille donc également à la qualité d’impression), qui nous aide énormément dans le set-up de nos actions DM. Ces spécialistes ont une connaissance spécifique de la production. L’interaction joue. Nous avons les idées et ils attirent notre attention sur ce qui est faisable ou pas. »